Le groupe d’exploitants s’est réunis le 18 janvier pour le lancement de la campagne d’essai.
Une mise en route refroidie par la météo !
C’est un peu plus de 20 personnes qui se sont retrouvées ce lundi 18 janvier au GAEC des Plagnes à Cuzieu pour le lancement de la campagne d’essai du séparateur de phases mobile des lisiers. Arrivé à 9h30 de la CUMA du Beaufortain, la machine a pu être mise en route après quelques réglages à effectuer sous les premiers froids de l’hiver.
Retrouvez la mise en route en image en cliquant sur ce lien :
18 exploitations engagées :
En avril 2015, une première démonstration de séparateur de phase mobile pour la gestion des lisiers, avait lieu au GAEC de l’Horizon à Saint-Héand et avait rassemblée un grand nombre de personnes.
Aussi afin de donner une suite et évaluer la faisabilité d’une ou plusieurs acquisitions de ce type de matériel dans les années à venir sur nos territoires, il a été envisagé de réaliser une campagne d’essai. Différents acteurs se sont mobilisés autour d’un groupe d’agriculteurs du bassin versant de la Coise pour élaborer un projet. Après la réunion d’information de décembre dernier, 18 exploitations se sont engagées dans cette campagne d’essai d’utilisation du séparateur de la CUMA du Beaufortain.
Le groupe projet a pu mobiliser des financements de Saint-Etienne Métropole et de L’agence de l’Eau Loire Bretagne afin de financer ce projet et rester sur un cout inférieur à 60€/h pour les utilisateurs.
Cette campagne d’essai aura lieu du 18 janvier au 10 février, et le séparateur tournera dans 15 exploitations sur le bassin versant de la Coise et 3 exploitations sur le bassin du Lignon (Monts du Forez).
Les exploitations engagées dans le projet ouvrent leur porte à tous les agriculteurs qui seraient intéressés pour voir fonctionner le matériel. Vous trouverez-ci joint le calendrier prévisionnel et la carte de la tournée dans les exploitations.
Avant de vous rendre sur l’exploitation à la date indiquée, il est nécessaire de prendre contact avec l’exploitant concerné pour s’assurer que de la date de passage n’a pas été modifiée.
Un suivi technique sera réalisé par la chambre d’agriculture de la Loire et s’appuiera sur différentes analyse et des préconisations afin d’évaluer au mieux les impacts du projet dans la gestion et la valorisation des effluents.